Femmes pour le Dire, Femmes pour Agir - FDFA ouvre ce blog à destination de ses adhérentes et adhérents et de ses bénévoles. Retrouvez toutes les informations pratiques sur les activités qui vous sont proposées.
samedi 30 avril 2022
Revue de presse - Féminisme et droits des femmes - 05/2022
Revue de presse - Violences - 05/2022
MOQUERIES, DÉNIGREMENTS, REFUS DE PLAINTE…
Handicapées, elles portent plainte pour des violences sexuelles et sont très mal reçues par la police
202 personnes handicapées ont répondu à notre questionnaire sur les violences sexuelles et leurs prises en charge par les forces de l’ordre. Le constat est accablant : peu vont porter plainte et quand elles le font, ça se passe souvent mal.
Jacqueline (1), 31 ans, est sourde. Entre janvier 2020 et octobre 2021, elle s’est rendue quatre fois à la gendarmerie pour porter plainte contre son mari pour séquestration, violence conjugale, mails malveillants, menaces de mort et atteinte à la vie privée.jeudi 28 avril 2022
ATELIERS DÉCOUVERTE - MAI 2022
Nadia, notre praticienne en Shiatsu, vous propose au mois de mai :
* Le 10 mai
Atelier découverte de Méditation à 18h30 (participation libre).
Catherine Jourdan, professeur de
philosophie à la retraite, animera la méditation de "pleine
présence". Moment où l'on se pose sans avoir à réussir quelque chose. Un
moment où l'on ne fait rien : on ne bouge pas, on n'agit pas, on ne se donne aucun
objectif, on ne cherche pas à atteindre un état particulier. On est juste là,
présent de tout son être à tout ce qui survient.
Cette pratique nous apprend à entrer
en rapport à notre expérience, et à être vraiment vivant, en nous accordant
avec l'entièreté de ce que nous sommes.
On s'engage sur un chemin de vie, où
l'on apprend à faire confiance à la Vie qui nous porte.
* Le 12 mai
après-midi Eau & Sens de 14h à 17h (payant, réservé aux
femmes, places limitées)
Un parcours bien-être vous permettra
de découvrir des sensations en pratiquant le Qi Gong dans l'eau, recevoir un
kobido (lifting japonais) et un shiatsu (sur chaise ergonomique) avec une
parenthèse au hammam et au sauna.
* le 24 mai
Atelier découverte de Psychogénéalogie à 18h30 (participation libre)
Philippe Braquier, sophrologue,
curieux de la place occupée dans son arbre généalogique s'est formé à la
psychogénéalogie.
La prise de conscience de soi, de
qui on est à observer tant en sophrologie qu'en psychogénéalogie.
Un arbre généalogieque
"classique" est le reflet des ascendances et descendances d'un
individu.
Un génosiogramme en psychogénéalogie
est dessiné en séance par l'individu, selon une codification déterminée. Ce
dessin apportera un regard de l'individu sur son ascendance et/ou de sa
descendance et sur les liens sociaux.
Ainsi pourront être dévoilés des
secrets de famille et bien d'autres choses...
Lors de cet atelier découverte,
Philippe présentera une courte bibliographie et viendra avec ses propres
génosiogramme et arbre généalogique.
Inscription auprès de : beaudoinnadia@yahoo.fr
A bientôt pour de nouvelles
découvertes,
Nadia BEAUDOIN
Praticienne Shiatsu
lundi 25 avril 2022
Écriture
Écriture : "Le chemin des mots"
Animatrices : Camille BOURON et Élisabeth OLIVRY
Prochaine date : lundi 17 octobre 2022
Fréquence : toutes les deux semaines
Horaires : de 15h à 17h
Nombre de personnes : -
Format : Atelier collectif se déroulant au local
Camille et Élisabeth vous proposent de vous réunir tous les quinze jours pour partager avec elles leur goût des mots et de l’écriture dans une ambiance conviviale et détendue. Le but de l’atelier est de pousser chacun à exprimer sa voix et à avancer sur le chemin de ses mots, le tout dans une attention et une écoute bienveillante.
#écriture #textes
mardi 12 avril 2022
Revue de presse - Genre et handicap - 05/2022
Vu dans la Cybertine #226, l'infolettre du Centre Hubertine Auclert :
Rapport « Femmes, emploi et handicap » – Agefiph
Ce rapport présente un état des lieux de la situation des femmes en situation de handicap sur le marché du travail. À travers des chiffres-clés, des témoignages et des préconisations, il met notamment en avant les premiers enseignements des travaux de recherche en cours « Handicap, genre et précarité » menés par le LIEPP de Sciences Po, auxquels l’association Femmes pour le Dire, Femmes pour Agir (FDFA) participe.
Pour lire le rapport de l'AGEFIPH et découvrir la contribution de FDFA : Femmes, emploi et handicap - État des lieux et perspectives
lundi 11 avril 2022
Revue de presse - Handicap - 05/2022
HANDICAP ET JEUX VIDÉO : LA VOIE DE L’ACCESSIBILITÉ
Plusieurs entreprises du monde du jeu vidéo mettent désormais l'accent sur l'accessibilité de leurs consoles, interfaces ou gameplays. Faut-il y voir le signe d'une réelle évolution ?Alors que les revenus engendrés par les jeux vidéo de toutes sortes (PC, consoles, mobiles) ne cessent d’augmenter, les éditeurs cherchent maintenant à rendre leurs œuvres accessibles aux personnes en situation de handicap afin d’attirer et de satisfaire un maximum de joueurs.
Lire l'article - Dièses - 22 mars 2022
samedi 2 avril 2022
Podcast "Ca va bien se passer" - Femmes et handicap - 04/2022
Chantal RIALIN, présidente de FDFA, témoigne au micro d'Adélaïde Simon de Bessac...
Un podcast de 50' à découvrir ici : Ça va bien se passer! | Femmes et handicap | Ausha
DESCRIPTION
“La première chose que l’on voit chez moi, c’est mon chien” affirme Chantal, notre invitée du jour. Non voyante, elle est arrivée à l’enregistrement du podcast avec son chien guide, un magnifique labrador qui attire tous les regards… et remplace les yeux de sa maîtresse.
L’invisibilisation et la violence envers les femmes sont au cœur des débats et cela n'exclut pas les femmes en situation de handicap, bien au contraire.
À PROPOS DE ÇA VA BIEN SE PASSER !
Le concept ? Partager avec vous le témoignage de personnes comme vous et moi, sur des sujets aussi divers que le droit des femmes, les addictions, le quotidien professionnel en établissement scolaire, le handicap ou encore la vie affective et sexuelle. Écoutez des témoignages, découvrez des histoires et des trajectoires de vie passionnantes, rendez-vous compte que vous n’êtes pas seul(e)s et inspirez-vous des leçons apprises par nos invité(e)s.
Votez pour les droits des femmes - 04/2022
Votez pour les droits des femmes - Une campagne de la FNCIDFF
La campagne #VotezPourLesDroitsDesFemmes a pour
objectif d'inciter
les électrices et électeurs à voter en prenant en compte la place des droits
des femmes dans les programmes des candidat·e·s.
L’élection présidentielle et les élections législatives sont les premières
élections d’une telle ampleur à se tenir après #MeToo. Depuis 2017, nous
assistons à une prise de conscience inédite de l’opinion publique face aux
violences faites aux femmes et aux enjeux liés à l’égalité femmes-hommes. Pour
répondre à ces aspirations de la société,
les droits des femmes doivent être au cœur du débat politique.
La
campagne est déclinée en
huit visuels, publiés du 21 au 31 mars 2022, chacun abordant une thématique en
lien avec les droits des femmes : réduire la précarité qui impacte majoritairement les
femmes, protéger les femmes étrangères victimes de violences,
lutter contre le cybersexisme et les féminicides, lutter contre les déserts
gynécologiques, éduquer à l’égalité les filles et les garçons,
partager les tâches domestiques...
pour en
savoir plus : https://fncidff.info/votez-pour-les-droits-des-femmes/
Qui sommes-nous ?
Les 98 CIDFF, répartis sur
l’ensemble du territoire, accompagnent près de 400 000 femmes à travers 2 300
permanences. Ils constituent l’un des principaux réseaux d’information du
public sur ses droits et exercent une mission d'intérêt général, confiée par
l'État, dont l'objectif est de favoriser l'autonomie sociale, professionnelle
et personnelle des femmes et de promouvoir l'égalité entre les femmes et les
hommes. Leur information est gratuite et
confidentielle.
Campagne nationale de lutte contre la prostitution des mineur·es - Où sont les "clients" ? - 04/2022
FDFA est signataire du communiqué de presse relatif à la campagne contre la prostitution des mineur·es lancée le 28 février par l'Amicale du Nid, le Mouvement du Nid et la Fondation Scelles.
La campagne « je gère » alerte sur le nombre croissant de milliers d’adolescent·es victimes de la prostitution, surtout des filles de 14 à 17 ans, et présente un plan structuré en cinq priorités pour y faire face.
« Ouvrir les yeux, être plus vigilant, protéger les victimes, accélérer les procédures contre les auteurs et s’organiser pour répondre aux défis ». Articles, reportages, films, séries télévisées l’ont précédée.
Il était très urgent de faire prendre conscience de ce fléau qu’est la prostitution des mineur·es dénoncé de longue date par les associations abolitionnistes de terrain dont l’Amicale du Nid, le Mouvement du Nid et la Fondation Scelles. Il était urgent de mettre en place des mesures pour prévenir et juguler cette violence. Mais pourquoi cette campagne épargne-t-elle ceux qui sont à l’origine de la prostitution, les clients acheteurs d’actes pédocriminels ?
« Quand il s’agit d’informer sur la prostitution des mineur-es « Articles et caméras préfèrent centrer leur intérêt sur les jeunes filles (victimes à 95 %), présentées comme les actrices principales d’un système qui serait dû à leur goût de « l’argent facile ». Pourquoi pas plutôt sur leurs prédateurs, majeurs en âge de réfléchir, qui les anéantissent ? Non, elles ne se prostituent pas. Non, ce ne sont pas des « prostituées », étiquette qui leur est immédiatement attribuée. On les prostitue » écrit Claudine Legardinier (Proxénétisme de mineures : où sont les « clients » ?15 octobre 2021).
Cette campagne aurait dû corriger cette façon de présenter la prostitution des mineur·es. Elle montre les violences subies par les victimes mais ces violences sont explicitement attribuées aux proxénètes : « La pratique prostitutionnelle expose à des risques majeurs d’infections sexuellement transmissibles et de grossesse non désirée auxquels s’ajoutent les violences physiques, psychologiques et sexuelles perpétrées majoritairement par les proxénètes qui peuvent être à l’origine de lésions traumatiques (ecchymoses, hématomes, etc.). », alors que les clients commettent tout autant toutes ces violences dont celle de violer.
Cette campagne ne met en avant aucune disposition concernant la responsabilisation des clients, et s’en tient à dire « une certaine méconnaissance sur la législation en vigueur dans notre pays concernant l’interdiction d’achat d’acte sexuel persiste ». On n’y trouve aucun rappel des lois en vigueur. La loi du 4 mars 2002 et celle du 13 avril 2016 interdisent la prostitution des mineures (des peines de 3 ans de prison et 45.000€ d’amende, et jusqu’à 5 ans et 75.000€ d’amende). La loi du 21 avril 2021 porte la peine à 20 ans de prison pour viol si l’achat d’acte sexuel porte sur un·e mineur·e de 15 ans.
Comment faire de la prévention si on n’explique pas l’interdit, si on ne rappelle pas la loi, si on ne montre pas les racines de cette violence et la responsabilité des clients et des proxénètes, les premiers permettant aux seconds de « faire de l’argent ».
Comment rompre les chaines de reproduction du phénomène en occultant la cause majeure du système : le « droit » des hommes à accéder de toutes les façons, domination et argent mêlés, au corps des femmes, accès rendu plus facile par la vulnérabilité des adolescent·es et des plus précaires.
Comment se satisfaire d’une campagne qui se complet dans le soupçon de futilité et de vénalité des adolescentes qui « prennent des risques », une antienne patriarcale qui ne peut être à la base d’une réelle éducation à la sexualité et à l’égalité entre les femmes et les hommes.
Paris, le 08 mars 2022
Contacts presse :
- Marie-Hélène FRANJOU, présidente de l’Amicale du Nid : 06 83 24 94 75
- Delphine JARRAUD, déléguée générale de l’Amicale du Nid : 06 07 15 55 65
Revue de presse - Féminisme et droits des femmes en France - 04/2022
Les inégalités femmes-hommes coûtent 118 milliards d'euros à la société, selon une étude
La Fondation des Femmes dévoile sur France Inter les résultats d'une évaluation du coût global des violences et inégalités de genre dans notre pays. Disparités dans le monde du travail, violences conjugales, comportements virils dangereux... les montants sont vertigineux.
La marge d'incertitude existe. Mais dans tous les cas, les chiffres donnent le tournis. Fourchette basse : 102 milliards d'euros. Fourchette haute : 118 milliards d'euros, par an et en France. "Les inégalités se mesurent avant tout en vies brisées, marginalisées, ou ignorées. Mais puisqu'il faut visiblement parler chiffre pour peser dans le débat, nous avons décidé de calculer ce coût des inégalités entre femmes et hommes", explique Anne-Cécile Mailfert de la Fondation des Femmes. Une compilation de données et estimations, réalisée avec les chercheuses Lucile Peytavin et Ginevra Bersani, de l'association Genre et Statistiques.
Lire l'article - France Inter - 2 mars 2022
Sur le même sujet, lire l'article des Nouvelles News - 2 mars 2022
REVUE DE PRESSE - Violences - 04/2022
Il y a 30 ans, un féminicide de masse à Montréal
Il y a 30 ans, le Québec assistait à un féminicide de masse. Le 6 décembre 1989, Marc Lépine est entré à l’école Polytechnique de Montréal pour tuer des femmes. En 20 minutes, il a abattu des étudiantes en criant « Je hais les féministes ! » puis a retourné l’arme contre lui. 14 jeunes femmes décèdent, 13 sont blessées et 2 survivantes se suicideront dans les mois suivants. Certains parents et compagnons, sombrant dans la dépression, se donneront également la mort quelques années plus tard. Marc Lépine, 25 ans, était étudiant lui-aussi à l’école polytechnique. Enfant maltraité par son père, il grandit avec des troubles psychiques et tombe dans le masculinisme. Ce mouvement allie le puceau frustré au vieux misogyne conservateur en passant par des pères déchus de leur paternité ou des hommes battus, tous en accord pour préserver un ordre social traditionnel, fondé sur des idées préconçues assignant les femmes à leur genre.
ATELIERS D'INSERTION PROFESSIONNELLE - MAISON DES FEMMES DE PARIS
La Maison des femmes de Paris, association féministe et lieu d’accueil d’initiative et de solidarité pour les femmes, organise depuis de nombreuses années des sessions d’ateliers pour favoriser l’insertion professionnelle et l’autonomie des femmes.
Ces
sessions en petit groupe se déroulent pendant deux mois et demi, elles sont
gratuites, non rémunérées et s’adressent à des femmes à la recherche d’un
emploi qui ont besoin d’élaborer un projet professionnel, d’acquérir outils et
méthodes nécessaires et de reprendre confiance en elles. Nous proposons des
ateliers collectifs et un suivi individualisé, au rythme d’une journée et demie
par semaine.
Notre
prochaine session va débuter ! La réunion d’accueil et d’information pour les
femmes intéressées aura lieu le 4 avril
2022 à 10h à la Maison des femmes de Paris, 163 rue de Charenton 75012 Paris.
Un
contact préalable est recommandé et peut se faire par mail, téléphone, ou sur
place.
Christèle Proust
Chargée de mission
Action pour l'insertion et l'emploi des femmes
07 58 02 81 31
https://mdfparis.fr/insertion-emploi/
Maison des Femmes de Paris - 163, rue de Charenton - 75012 Paris - 01 43 43 41 13
Mouvements et conscience du corps
Mouvements et conscience du corps Animatrice : Sabine BLANCHARD Prochaine date : lundi 10 octobre 2022 Fréquence : une fois ...
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Relaxation et bien-être Animatrice : Nathalie GAM Prochaine date : mercredis 12 et 26 octobre 2022 Fréquence...
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Écriture : "Le chemin des mots" Animatrices : Camille BOURON et Élisabeth OLIVRY Prochaine date : lundi 17 octobre 2022 ...
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Beauté & Bien-être - Soin du visage après soleil : l'hydratation Animatrice : Chantal NOGUERO Prochaine date : mardi 11 octobre 20...